Publi-communiqué
Institut Bicher X TU ES ASSEZ
Par Mélanie Guillon,
fondatrice de TU ES ASSEZ
Maigrir durablement
Sans régime, sans faire de sport et sans s'affamer
Je me présente rapidement, je m’appelle Mélanie, j’ai 28 ans et cela faisait plus de 8 mois que mon poids stagnait à la virgule près, sans bouger, malgré mes différentes tentatives de régimes et mes 5 soirs par semaine à la salle de sport.
De quoi perdre espoir non ?
Rembobinons légèrement et reprenons depuis le début (ou presque). J’ai commencé les régimes à l’âge de 12 ans. À l’époque, je suis la petite boulotte de la bande, toujours au-dessus de la magnifique courbe du carnet de santé. Ce que je ne savais pas, à l’époque, c’est que je signais pour plus de 10 ans de galère. J’ai donc enchaîné les régimes, plus drastiques les uns que les autres, je les ai TOUS testés : je perdais, pas mal (entre 5-7 kg) , puis je reprenais, encore plus (entre 8-10 kg). Et puis, j’ai ajouté les gélules coupe faim et capteurs de graisse qui vont avec. Sans oublier, la cerise sur le couscous : les crèmes et gels amincissants, anti-cellulite, perte de centimètres express.
Bref, tu as compris l’idée, j’ai dépensé une énergie et des sommes folles à essayer de changer un corps, qui, avec du recul, n’était pas si détestable, bien au contraire.
J’ai donc grandi avec un rapport pas très sain à l’alimentation, entre restrictions et buffet à volonté, et c’est à mes 22 ans que je décide de me prendre pour de vrai et de bon en main en débutant un rééquilibrage alimentaire avec une diététicienne. À cette époque, nous sommes en mai 2016 et je vais perdre 12,6 kg en moins de 3 mois. Pour la première fois de ma vie, je rentre dans une taille 36, tout me va quand je vais faire du shopping et je me sens enfin, bien dans ma peau. Ce sentiment, après lequel j’ai couru pendant tant d’années, est enfin là.
Je stabilise, je me mets au sport, je me dessine, j’ai un nouveau corps et une nouvelle vie qui va avec.
Enfin.
Sauf que le revers de la médaille, il est là : j’ai peur, que dis-je, je suis tétanisée à l’idée de reprendre du poids. Je vais donc tomber dans cette spirale infernale de > me peser chaque matin et soir > m’apercevoir que j’ai pris 200 g > ne plus manger que des légumes et du poisson blanc (parce que les féculents ça fait grossir n’est-ce pas ?) > continuer de prendre 200 g par 200 g > me trouver difforme, de nouveau, face au miroir > tomber dans le foutu pour foutu > culpabiliser, et sévir encore plus fort > m’isoler de toute vie sociale pour ne pas craquer.
Puis, je réalise. Je réalise que ce n’est pas la vie que je veux : rentrer dans un 36 coûte que coûte, me couper de la Vie, mettre en péril ma santé, etc. Je vais donc à ce moment-là, en 2019, commencer un suivi avec une nutritionniste pour comprendre comment fonctionne le rapport tête/corps. Je découvre alors ce qu’est le métabolisme, et l’impact de notre mental et de nos émotions sur notre corps.
C’est en 2021 que je vais en faire l’expérience dans la vie réelle : de déception en désillusions, je fais un burn-out professionnel, je négocie durant des semaines une rupture conventionnelle, dans le même temps, je subis (à ce moment-là, c’est vraiment le terme) une rupture amoureuse qui sera le coup de bâton final. Je vois mon corps s’étoffer, jour après jour sans être en capacité de faire quoi que ce soit (mon alimentation elle, n’a pas changée, j’ai toujours un mode de vie équilibré). Je (re)prends en l’espace de 6 mois, 8 kg.
Coup de massue.
Mais me laisser abattre saurait mal me connaître : après tout, j’ai déjà fait trop de chemin pour laisser tomber. Je reprends donc les choses en main : en novembre 2021, je m’expatrie et je déménage à Barcelone où je reprends un rythme sportif intensif dès mon arrivée. Entre novembre et début janvier, je vais donc aller au sport 6 jours par semaine, j’alterne un jour sur deux entre un cours collectif (de HIIT ou cycling) et du running en extérieur.
Après la nouvelle année, et parce que ce chiffre sur la balance ne descend pas assez rapidement à mon goût (j’ai à peine perdu 600 g), je prends un abonnement Weight Watchers. Je vais donc suivre le programme de façon très assidue durant 3 mois. Tout en continuant le rythme aussi intensif et prenant de sport que je m’impose. 0 résultat sur la balance.
Fin mars, j’accélère encore le processus puisque je prends la décision de courir le semi-marathon de Barcelone, qui aura lieu le premier week-end d’avril. À ce moment-là, je ne suis pas entraînée, je n’ai jamais couru plus de 12 km (le semi c’est 21,095 km), et nous sommes précisément 10 jours avant le jour J. Mais j’ai surtout besoin de me prouver que mon corps peut réussir un exploit et qu’il est encore ce que je pense qu’il est : capable.
Le chiffre sur la balance ne bouge toujours pas. Je commence à désespérer d’entendre mon entourage me répéter : « c’est peut-être ton poids de forme aussi ». Non. Je refuse. Je tente alors de m’en remettre à la bonne vieille méthode : comptage de calories. À ce moment-là, je découvre que je mange en moyenne entre 800 et 1000 calories par jour. Aïe. Je me dis alors que, le problème, il vient de là, je suis en famine, et je décide donc de raugmenter peu à peu mes calories, pour arriver entre 1400 et 1600 par jour.
2 mois plus tard, l’été est déjà bien installé ici, les sessions plages entre copains aussi, je ne suis toujours pas à l’aise dans mes baskets, mon poids ne bouge toujours pas et mon espoir commence à décliner de voir un jour ce chiffre descendre. Je tente le tout pour le tout et décide d’agir autrement puisque visiblement, le problème n’est ni dans mon assiette, ni dans mon mode de vie.
Et c’est LA révélation.
Je tombe très vite sur le programme Equilibra Mind de l’Institut Bicher. L’histoire de la marque me touche et me parle, puis je me dis que je n’ai rien à perdre à tenter, et même que c’est peut être ça la solution : venir travailler sur mon inconscient, puisque consciemment, je fais déjà tout ce que je peux.
Je commence donc le programme en respectant bien le rythme d’écouter un audio par jour. Je suis pleine d’espoir. C’est facile. Relaxant. Un moment pour moi. Bref, j’adore ! J’ajoute les mantras qui me parlent le plus à mes affirmations positives du matin et puis très vite une nouvelle routine se met en place. Après 2 semaines de pratique, le moment tant redouté arrive : je monte sur la balance et là JOIE BONHEUR -1,6 kg ! Je n’en reviens pas, je suis dans une euphorie si puissante à ce moment-là ! J’ai enfin, et finalement après tous ces efforts, trouvé LA réponse à mes problèmes. Dans quelques jours, j’arriverai au palier des 3 semaines, et ce, avec -2,1 kg sur cette même balance.
Alors, merci.
Merci à Élodie et ses merveilleuses équipes d’avoir créé cette solution qui lui sort tout droit du cœur. Merci de m’avoir réconcilié avec ma balance, mais surtout merci de transformer ma vision et mon regard de moi, sur moi.
Plus que testée et approuvée, je suis littéralement CONVAINCUE que c’est la solution pour toutes les personnes, qui comme moi, sont incapables de lâcher-prise et tourne la perte de poids en véritable obsession dans leur quotidien. C’est parce que je suis passée par l’enfer, que je peux aujourd’hui autant apprécier cette simplicité liée à l’efficacité. Alors, avec le cœur, je vous le redis : merci.
Mélanie.
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A VOIR DANS CETTE PRESENTATION :
La solution Equilibra Mind - maigrir en 15 minutes par jour, sans frustration, sans faire de sport – consiste à modifier votre métabolisme en envoyant à votre cerveau certains messages clés.
Votre métabolisme est alors reboosté pour accélérer la perte de poids.
Cette méthode douce, qui agit avec bienveillance a séduit des milliers femmes sur le chemin de la perte de poids. Aujourd’hui, perdre du poids ne rime plus avec frustration, privation, et culpabilité au moindre écart. Il s’agit de s’accorder un temps pour soi au croisement des pratiques de l’hypnose et de la méditation.
Institut Bicher : le bien être par le corps et l’esprit
A. Pascual-Leone, N. Dang, L. G. Cohen, J. P. Brasil-Neto, A. Cammarota et M. Hallett, 1995, « Modulation of muscle responses evoked by transcranial magnetic stimulation during the acquisition of new fine motor skills » Journal of Neurophysiology, 74(3): 1037-45
Professeur Traci Mann de l’Université du Minnesota, auteure de « Secrets from the eating lab »
MCGill University : Planning and visualization lead to better food habits - https://www.mcgill.ca/channels/news/planning-and-visualization-lead-better-food-habits-172096
MCGill University : The mental work behind medals - https://mcgillnews.mcgill.ca/s/1762/news/interior.aspx?sid=1762&gid=2&pgid=1129
Avertissement :
Les résultats peuvent varier d'une personne à l'autre et ne sont pas garantis.
Ceci n'est pas un avis médical et ne se substitue pas à la consultation d'un médecin.
Ceci n'est pas un article de presse, mais une publicité pour les produits de la marque Institut Bicher.
Cette méthode d'amincissement ne vous garantit pas des résultats miraculeux. Elle n'a pas été objectivée mais repose sur une approche validée par plusieurs études scientifiques.
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