La réponse, c’est votre métabolisme.
C’est lui qui fait que peut-être votre collègue de bureau peut manger une belle part de pizza le lundi, des sushis le jeudi, enchainer avec l’afterwork du vendredi et toujours afficher une ligne parfaite alors que vous, vous avez l’impression qu’au moindre écart vous êtes directement sanctionné par la balance !
En tant que Français, dans le pays qui affiche pour valeur principale l’égalité. Ça ne passe pas ! Et puis, il y a des personnalités, comme la mienne, pour qui s’est vécu encore plus difficilement parce que vous n’acceptez pas l’injustice.
Peut-être qu’au moment même où vous lisez ces mots, vous sentez naître une certaine crispation parce que vous non plus vous n’acceptez pas.
Mais détendez-vous, prenez une profonde respiration.
Inspirez par le nez, sentes vos poumons se gonfler…
Et soufflez par la bouche pour évacuer toutes ces tensions. Faites comme si vous vouliez souffler sur une petite bougie et par cette action justement éteindre ces pensées.
Vous pouvez sourire légèrement - c’est bon pour vous, pour vos hormones, pour votre bien-être général. Vous pouvez sourire parce que vous allez voir que ce n’est pas une fatalité et qu’il est possible de changer la donne.
Alors, parlons plus en détails de ce métabolisme. C’est votre cerveau qui commande votre métabolisme.
Il agit d’abord par le biais de l’hypothalamus, qui envoie ses directives à l’hypophyse, sa petite voisine, pour ensuite commander votre thyroïde, qui elle se trouve au niveau de votre gorge.
C’est donc elle, en dernier lieu qui agit sur votre poids.
Le métabolisme, si on veut être très factuel, c’est votre balance interne qui va donc peser d’un côté les calories que vous ingurgitez et de l’autre côté l’énergie, que vous dépensez pour vos activités mais aussi l’énergie de base dont votre corps a besoin pour fonctionner correctement (respirer, digérer, réfléchir, maintenir votre température corporelle, votre rythme cardiaque…).
Votre métabolisme fait donc la soustraction entre les calories entrées et les calories sorties et le résultat :
S’il est positif : vous stockez les excès et vous faites des réserves pour plus tard.
S’il est négatif : au contraire vous allez piocher dans vos réserves de graisse pour trouver cette énergie qui manque et donc perdre du poids.
Le souci, c’est qu’on n’arrive pas tous au même résultat.
Pourquoi ? Parce que notre dépense énergétique est influencée par des éléments extérieurs à l’alimentation.
Je vous donne une petite liste : le stress, le manque de sommeil, des troubles hormonaux divers, thyroïde, péri ménopause ou ménopause, état émotionnel, privation, multiplication des régimes…
Donc au final, si on reprend l’image de la collègue ou du collègue qui mange tout sans jamais grossir et celle de la personne qui est en lutte permanente contre son corps et ses kilos, ce qu’il faut, c’est aller voir au-delà de l’alimentation, c’est faire le point sur ces facteurs dont je viens de vous parler.
Il est tout à fait possible d’agir sur chacun d’entre eux et je vous invite à réfléchir aux facteurs qui pourraient justement être en cause selon votre point de vue. Cette réflexion indispensable peut enfin vous permettre de trouver la solution à vos problèmes de poids.
A VOIR DANS CETTE PRESENTATION :
Cet article est un extrait de notre podcast disponible sur la plupart des plateformes d’écoute. Retrouvez un nouvel épisode tous les jeudis et dimanche.
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